LE PORT DE L’ANGOISSE EST OBLIGATOIRE
Dans ce numéro énorme (500mo, accrochez-vous à votre disque dur), de quoi lire, voir, écouter pendant au moins trois semaines !
Pus d’une heure de musique et de vidéo (The other colors « De vie ou de mort », Joel Mas « Prise en mains », Vincent Vuong « La lugubre gondola », Cyril Herry « Un cercle vicieux », Paul Gidney « Zigurat »)
Mais aussi :
Des histoires d’homme qui s’intéressent aux femmes jusqu’à la démence (Jacques Cauda « Eloge du féminin(e), Costes « Pute de prof »)
Des histoires de femmes qui s’intéressent aux hommes avec lucidité et sans pitié (Morphée « Le bisou du hérisson », Marlène Tissot « Perchée sur le sommet glissant de mes treize ans »).
Mais aussi :
Une métaphysique du domino (Vincent Pons)
Des armes à feu (Remo « Sleep under bullets)
Des chaussures inquiétantes (les photos de Daslook)
Du cul légèrement tordu (les gravures de Benjamin Monti) ou pas (Thomas Vinau « Histoire de cœur et de merde en trois actes »)
Des drogues aux effets inattendus (Dave 2000 « Freak dope »)
Le punk-rock vécu de l’intérieur (Camille Philibert « Le char de Bruce Lee »).
Mais aussi !
Des pigeons qui vomissent (Meryl Marchetti « Aubergine Time »)
Des enfants qui déconnent (Anne Tranchand « Tes adultes sont morts »)
De la conscience concassée (Corinne Lagord « Shock wave »)
Du monde moderne haché menu (Mathias Richard « Amatemp », limbes « Le dispositif vous aime », Boris Crack « Les palmiers fachos », Ronan Rocher)
Mais encore !
Des romans à suivre (Jauris Valmert « En avant les limbes » Fred Gevart « Couchés les morts », Christophe Siébert « La maison, les morts »)
Des tableaux inquiets (Thierry Grootaerts « Clés sur la porte »)
Des dessins flippés (Gaiihin Globulgoeme)
Des chewing-gums au foutre et des tarés ruraux (Paul Sunderland « Spermagum », Muriel Tourbe « Amour, quand tu nous tiens ! »)
Et j’en passe.
Plus de trente auteurs se sont fendus le crâne pour vous ce mois-ci, c’est exclusif, c’est gratuit, c’est le numéro 3 de l’angoisse, c’est abusément long à télécharger mais les bonnes choses se méritent, s’attendent, se dégustent, c’est ici et pas ailleurs :
http://www.revueangoisse.blogspot.com/